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Derrière chacune de ses œuvres se cache un conte intemporel où la femme se joue d’un homme à peine évoqué mais omniprésent.

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Artiste peintre française née en 1971

 

Elka, c’est le prénom qu’elle s’est choisi. En hommage à sa grand-mère issue des terres de Bohème. Quatre lettres pleines de secrets, de déracinements, de murmures transmis entre femmes. Quatre lettres qui lui ont permis de renaître, le jour où sa fille est née. C’est là que tout a basculé : Elka est née d’une urgence, celle de vivre en créant, de créer pour ne pas se trahir.

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Elle vit en bordure du monde, là où l’air est plus libre. Les règles ? Elle les observe de loin, pour mieux les tordre. Hypersensible, explosive, pensée en cascade, énergie fauve : elle agit sans attendre, peint sans filet, et aime quand tout se joue dans l’intensité. Travailler jusqu’à l’épuisement, oui — si l’élan est vrai, brûlant, total.

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Elle ne cherche pas à séduire, mais à révéler. À remuer ce qui dort. À faire parler les corps, les regards, les silences. Sa peinture, c’est sa langue. Elle y dit l’amour, le désir, l’ironie, la rage — tout ce qui déborde. Les chats, eux, comprennent. Ils sont quinze à partager son territoire. Car la liberté, ça se vit à griffes nues, dans le mystère, et toujours hors cadre.

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Formée en autodidacte, elle observe sans s’enchaîner à un mouvement. Elle emprunte au surréalisme, au pop art, à la figuration narrative, détourne, invente. Toujours à la frontière.

 

 

Son style

 

Ses toiles émaillées de symboles, de détournements et de références philosophiques agissent comme des détonateurs visuels. Rien n’y est laissé au hasard : chaque clin d’œil, chaque œil caché, chaque miroir fendu invite à lire entre les lignes. Ce qu’on croit voir n’est jamais tout à fait ce qu’on regarde.

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Elle traque les fragments oubliés du réel, les recompose en fables modernes. Détourne les codes, dialogue avec les époques. Le surnaturel côtoie le quotidien, le mythe s’infiltre dans le moderne.

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Elka mêle texte et image. Ses mots glissent sur ses toiles comme une voix intérieure, entre tension et vertige, humour et désir.

Son humour caustique, et très anglais, est sa ligne de flottaison. «â€¯Trop près pour penser, trop loin pour céder », «â€¯On ne m’a pas chassée du paradis, je suis partie en claquant la porte » — autant de fragments qui accrochent, caressent ou giflent, selon l’angle du regard.

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Sa peinture, à la fois charnelle et philosophique, fait vibrer une pensée du corps, de la liberté et de l’amour comme puissance vitale. Elle invite à ne jamais cesser de choisir sa propre version du monde.

 

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French painter born in 1971.

 

Elka — the name she chose for herself. A tribute to her grandmother, born on Bohemian soil. Four letters full of secrets, uprooted memories, and whispers passed between women. Four letters that allowed her to be reborn, the day her daughter was born. That’s when everything shifted: Elka was born out of urgency — the urge to live by creating, to create in order not to betray herself.

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She lives on the edge of the world, where the air is freer. Rules? She observes them from a distance — just enough to bend them. Hypersensitive, explosive, thoughts cascading, untamed energy: she acts without waiting, paints without a safety net, and loves when everything is played in intensity. Working until exhaustion? Yes — if the drive is real, burning, total.

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She doesn’t try to seduce — she tries to reveal. To stir what lies dormant. To make bodies speak. Eyes. Silences. Her painting is her language.
Through it, she speaks of love, desire, irony, rage — everything that spills over. Cats understand. Fifteen of them share her space. Because freedom is lived claw-first, in mystery, always outside the frame.

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Self-taught, she watches without binding herself to any movement. She borrows from surrealism, pop art, narrative figuration — she hijacks, she invents. Always on the edge.

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Her style

 

Her canvases — filled with symbols, détournements and philosophical references — act like visual detonators.
Nothing is accidental: every wink, every hidden eye, every cracked mirror invites a reading between the lines.
What you think you see is never quite what you're looking at.

She hunts down forgotten fragments of reality and reassembles them into modern fables.
Twisting codes, conversing across eras.
The supernatural brushes against the mundane; myth infiltrates the modern.

Elka blends text and image.
Her words drift across her paintings like an inner voice — between tension and vertigo, humor and desire.

Her caustic wit — British to the bone — keeps her afloat.
"Too close to think, too far to surrender."
"I wasn’t expelled from paradise — I slammed the door on my way out."
Fragments that hook, stroke, or slap — depending on your angle of view.

Her painting, both carnal and philosophical, stirs a vision of the body, of freedom, and of love as a vital force.
She invites us to never stop choosing our own version of the world.

Tous droits réservés

Pour toute requête concernant l'usage d'image du travail d'Elka Leonard, contactez:

elka@elkaleonard.com

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